Bercée au son d’Ella Fitzgerald, Brassens, Louis Amstrong … mais tout autant influencée par Björk, Anja Garbarek, Billie Eilish et toute la mouvance électro, Lizzy Ling traverse le monde et son époque bien décidée à ne rien céder, à ne pas se compromettre.
Auteure, compositrice, chasseuse de sons et productrice, la chanteuse a plus d’une corde à son arc. Elle arrange, réalise et mixe ses albums depuis 2010 et ses clips depuis 2021.
Egérie d’une grande marque française au Japon Lizzy multiplie les concerts là-bas pendant une dizaine d’années. Ce pays l’inspire et elle en profite pour griffonner tout le long du jour et de la nuit, des mots, des notes, des idées. De retour en France commence l’élaboration de son premier opus « Un tigre dans le bungalow » en 2008. Suivront « No Simili » en 2010 puis quelques années plus tard le double album « Working Day » sur le son des métiers. Et enfin “L’horizon est un concept à creuser” en 2021
Cette fille-là sait aussi s’entourer puisqu’elle collabore parfois avec Jean Fauque, Minimatic, François Bernheim et quelques autres. Touche à tout inspirée, avide d’aventures musicales, Lizzy parallèlement à sa carrière solo enregistre trois albums : « Une chaise pour Ted » et « Quelqu’un dans mon genre » au sein du groupe My Concubine. Puis « No parking » ovni franco-indien avec le collectif À Contresens.
On la voit aux côtés de Brigitte Fontaine et de Denis Lavant dans les clips de My concubine et avec Sean Lennon pour la pub « Honda Freed » Japon.
On l’entend également sur « Hildegarde » extrait de l’album « Moonbootica » du groupe electro allemand du même nom et elle est aussi la voix de nombreux jingles radios et TV.
Aujourd’hui, sur scène, elle présente son nouveau One Woman Show Musical « Lizzy Ling n’est pas du matin ».